M. Jean Béziat, fondateur de l'Institut Général des Forces Psychosiques et le journal "Le Fraterniste" en 1910

Monsieur Jean Béziat, né le 6 octobre 1877 à Carcassonne (Aude), émerge comme une figure marquante du monde spirite au début du XXe siècle. Professeur d'histoire naturelle à Douai, il hérite d'une sensibilité spirituelle de son père, M. Raymond-François Béziat, professeur d'agriculture et spirite actif participant au journal "Le Fraterniste". Sa mère, Victorine Graves, elle-même adepte des séances médiumniques et des dessins spirites, contribue à enrichir son environnement spirituel.

En 1910, M. Béziat fonde l'Institut des Forces Psychosiques, une institution dédiée à la recherche spirituelle et à la guérison. Parallèlement, il lance le journal "Le Fraterniste", un hebdomadaire spirituel qui devient l'organe officiel de l'Institut. Les enseignements véhiculés par le journal mettent en avant la nature de l'action des morts sur les vivants, s'appuyant sur la notion de "Psychose" pour expliquer ces interactions spirituelles.

Malgré son rôle actif dans l'Institut et le journal, la mobilisation de M. Béziat durant la Première Guerre mondiale l'oblige à se rendre à Angoulême, puis à Toulouse. Après la guerre, il choisit de s'installer à La Borie, une métairie à Avignonet-Lauragais (Haute-Garonne), signant ainsi un désaccord avec Paul Pillault, qui oriente son journal "Le Bieniste" vers le Déterminisme Divin.

Jean Béziat acquiert une renommée remarquable dans les années 1920 en tant que guérisseur. Son domaine à La Borie devient un lieu de rassemblement, accueillant entre 800 et 2 000 demandes d'aide chaque jour, et comptant 3 985 patients le 3 avril 1925. Les méthodes de guérison de M. Béziat incluent l'imposition des mains, des mouvements de conduction le long de la colonne vertébrale, et une application magnétique particulière.

Son appel à la "GRANDE NATURE", exprimé dans une prière quotidienne, reflète sa connexion profonde avec les forces primordiales universelles de la vie. M. Béziat attribue ses guérisons spectaculaires à la fois à la puissance primordiale de la vie et à l'utilisation du magnétisme animal. Il utilise des techniques telles que l'aspiration et la respiration chaude pour apporter soulagement et guérison à ses patients.

M. Jean Béziat décède le 11 mai 1926 des suites d'une maladie foudroyante. Son héritage se perpétue à travers les témoignages de guérisons, les articles publiés, et les enseignements spirituels diffusés par l'Institut Général des Forces Psychosiques et le journal "Le Fraterniste". Sa vie et son œuvre continuent d'inspirer ceux qui recherchent la compréhension spirituelle et la guérison au-delà des limites matérielles.


MM. Jules Jésupret et Jean Béziat

Monsieur Jules Jésupret, embrasse la voie spirite en 1874, marquant ainsi le début d'un parcours dédié à la compréhension des forces psychiques et de la spiritualité. Sa rencontre avec M. Jean Béziat a été un moment charnière, et ensemble, ils ont jeté les bases d'un mouvement significatif.

En 1912, à Sin-le-Noble, M. Jésupret concrétise sa vision en fondant l'Institut Psychosique, un lieu dédié à la recherche spirituelle et à la guérison par le biais des forces psychiques. Cette initiative dénote son engagement profond envers le bien-être des individus, alliant spiritualité et guérison dans un cadre institué.

La portée de l'Institut ne se limite pas à Sin-le-Noble, car une branche s'ouvre également à Béthune. Au 1er août 1914, trois guérisseurs éminents, MM. Pillault, Béziat, et Lormier, unissent leurs compétences pour offrir des soins à une moyenne impressionnante de 300 malades par jour. Les moments de pointe voient même dépasser la barre des 500 malades et visiteurs, soulignant ainsi l'impact positif de leur action.

Des Conférences d'initiation, orchestrées par le Secrétaire général, M. Breye, rythment les journées à l'Institut, soulignant l'importance de l'éducation spirituelle et de l'échange de connaissances. Les soins, prodigués gratuitement, reflètent la générosité et la mission altruiste de ces guérisseurs dévoués.

Le réseau s'étend bien au-delà de Sin-le-Noble, avec la création de Fraternelles, des groupements visant à rassembler les adeptes des Forces Psychosiques. Ces Fraternelles, au nombre de quatre-vingt-douze, rayonnent dans le monde, de l'Égypte à l'Angleterre. La Fraternelle de Vendin-le-Vieil, forte de 300 membres, témoigne de la solidarité et de la fraternité qui se tissent au sein de ces regroupements spirituels.

Dès 1910, les Instituts et Fraternelles disposent d'un organe de liaison puissant, le périodique "Le Fraterniste", qui assure la diffusion des enseignements spirituels. Avec un tirage de 7 000 exemplaires et 6 000 abonnés, cette publication hebdomadaire au format quotidien sur 4 pages joue un rôle central dans la communication et l'unité au sein de la communauté.

Ainsi, Monsieur Jules Jésupret, par son engagement précoce dans la voie spirite et son rôle clé dans l'établissement de l'Institut Psychosique, incarne une figure majeure de la spiritualité et de la guérison au sein des Forces Psychosiques. Son héritage continue de rayonner au travers des enseignements et des actions altruistes de ces guérisseurs dévoués.


M. Beziat rejoint par MM. Pillault et Lormier

Au début du XXe siècle, alors que le spiritisme connaît une vitalité remarquable, notamment dans le Nord de la France et la Belgique, Augustin Lesage, peintre, médium, et guérisseur, entame son parcours artistique en 1912. Dans cette région marquée par les crassiers et les mineurs constamment confrontés à la mort, un contexte spirituel fertile émerge.

Parallèlement, en Belgique, le mineur Louis Antoine initie des séances de guérison par l'imposition des mains, donnant naissance à "L'Antoinisme", un mouvement autonome influencé par le spiritisme, principalement orienté vers le soin médiumnique.

À Sin-le-Noble, le spirite Jean Béziat fonde en 1910 l'Institut Psychosique, un lieu où les soins sont dispensés par l'intermédiaire de l'au-delà. Situé dans le quartier de l'église Saint-Joseph, l'Institut ouvre ses portes les mardis, mercredis, vendredis et samedis, à 8 heures du matin et à 14 heures précises de l'après-midi. Rapidement, Jean Béziat est rejoint par Paul Pillault et Henri Lormier. Avant le déclenchement de la Première Guerre mondiale, ces trois guérisseurs prodiguent ensemble des soins à une moyenne de 300 patients par jour. Des photographies prises par Les clichés Roumieux témoignent de cette époque et deviennent des supports de correspondance pour les malades, partageant leurs témoignages de guérison.

Ces médiums-guérisseurs, dont certains remportent des succès notables, se retrouvent confrontés à des poursuites judiciaires en 1914 initiées par le Syndicat des médecins, qui porte plainte contre eux. Cependant, ils seront acquittés. Après la guerre, Jean Béziat se retire dans le Midi tout en poursuivant son activité de guérisseur, tandis que Paul Pillault s'installe à Aubervilliers.

Vers 1923-1924, l'Institut Psychosique se reforme à Sin-le-Noble sous le nom de Maison Familiale Institut au 122 Avenue du Faubourg. En juin 1926, le docteur Regnier rejoint Henri Lormier, resté seul après le départ et la désincarnation de Béziat. La Maison Familiale, transférée au 18 de la même rue du Faubourg, prend alors le nom d'Institut Médico-Psychosique. Bien que quelques groupes fraternistes peinent à se reformer, la Maison continue son œuvre avant de fermer ses portes ultérieurement. L'héritage spirituel de cet Institut est perpétué par d'autres acteurs par la suite.

Cette riche histoire est documentée par Christine Bergé dans "La voix des esprits, ethnologie du spiritisme" et est également évoquée dans "The Spiritist Fallacy" de René Guénon.


M. Paul Pillault

Monsieur Paul Pillault, négociant émérite à Auby, et Jules Jésupret, délégué municipal aux hospices, se sont distingués en tant que fondateurs d'un journal douaisien, paru en vue des élections municipales de 1900. Cette initiative, qui a pris fin en 1902, a été menée aux côtés d'autres collaborateurs. Cependant, leur parcours commun atteint son apogée de 1909 à 1914, période durant laquelle ils ont accompagné Jean Béziat et Henri Lormier dans l'aventure de l'Institut des Forces Psychosiques.

Même séparé par les ravages de la Première Guerre mondiale, Paul Pillault persiste dans sa mission spirituelle en professant le Déterminisme Divin à travers "Le Biéniste". Fondé par Paul Pillault et ensuite géré par Jules Berthelin, ce journal reprend les écrits de Paul Pillault après sa désincarnation et propose des ouvrages à la vente.

En 1913, Paul Pillault témoigne de ses propres facultés de guérisseur découvertes par Jules Meudon cinq ans plus tôt. Encouragé par les succès obtenus, il décide de partager ces facultés avec autant de compagnons que possible. Avec le directeur Jean Béziat, ils fondent l'Institut général psychosique à Sin-le-Noble, devenu l'Institut des Forces Psychosiques no 1. La publication du journal "Le Fraterniste" commence en 1910.

L'acte de décès de Paul Pillault est daté du 8 juillet 1921 à Aubervilliers, en Seine-Saint-Denis. Son in memoriam est publié dans la Revue scientifique et morale du spiritisme en janvier 1921. La conception spirite du "médium-guérisseur" est clairement exposée dans "Le Fraterniste", où ces médiums occupent une place prépondérante.

Le travail de guérison ouvre la voie à des préoccupations plus larges, comme l'indique la citation de Béziat. Encourageant la science à pratiquer des recherches sur le spiritisme, ils envisagent la résolution des questions sociales grâce à la démonstration des fondements du spiritisme. "Le Fraterniste" se distingue non seulement comme le journal le plus intéressant, mais aussi comme le plus utile, capable d'apporter la tranquillité et la joie à l'humanité.

Soulignons que le pacifisme et le féminisme sont des thèmes de prédilection du journal. Paul Pillault, avec Jean Béziat et Jules Jesupret, édite également un livre intitulé "LA VIE" à Douai en 1909. L'impact de Paul Pillault et son engagement en tant que médium-guérisseur ont laissé une empreinte significative dans le domaine spirite et au-delà.


M. Jules Berthelin - Guérisseur Fondateur de l'Institut Général des Forces Psychosiques de Noeux-le-Mines

Monsieur Jules Berthelin, aîné d'une famille de six enfants, a vu le jour à une époque où les allocations et la sécurité sociale étaient des concepts lointains. À dix ans, il se retrouve contraint de mendier de porte en porte pour subvenir aux besoins de sa famille, plongeant ainsi dans une existence précaire. C'est dans cette quête quotidienne de subsistance que débute pour lui une "révélation spirituelle", des appels d'esprits et de la musique résonnant dans l'espace au fil de ses pérégrinations.

À 18 ans, il travaille dans les mines, une expérience qui le conduit vers le matérialisme, reniant même sa foi en Dieu vers l'âge de 25 ans. Toutefois, une maladie persistante et débilitante, qui défie l'expertise médicale pendant sept longues années, rappelle Jules Berthelin à sa mission spirituelle. Un jour, guidé par un ordre de l'au-delà, il découvre son don pour soulager la souffrance des autres, guérissant notamment des paralytiques. Sa renommée grandit, mais Jules Berthelin reste humble, dispensant ses soins gratuitement malgré les offres d'argent de nombreux malades reconnaissants. C'est alors qu'il envisage la création d'une Caisse de solidarité et de propagande spirite, basée sur la conviction que l'homme ne vit pas seulement du pain du corps mais aussi de la parole de Dieu.

En 1909, il découvre l'Institut des Forces Psychosiques de Sin-le-Noble et fait la connaissance de Paul Pillault, qui avait reçu une communication spirituelle annonçant l'arrivée d'un malade, un médium qui avait reçu des appels pendant sa jeunesse en mendiant son pain. Face à de nombreux malades sollicitant ses soins, Jules Berthelin se voit confier une mission délicate par M. Béziat, un examen à l'Institut le nomme censeur à la Fraternelle n°1 d'Avion.

À Avion, il forme un groupe de solidarité, créé une bibliothèque et établit un cercle de trente-cinq membres. Sa vie devient une dévotion altruiste, et dans sa démarche de donner avant de recevoir, il perçoit la clé de la guérison. Sa guérison personnelle, après un an de travail acharné, le confirme dans cette voie.

En 1914, malgré les ravages de la Première Guerre mondiale, Jules Berthelin et d'autres guérisseurs poursuivent leur œuvre humanitaire. Après la guerre, il remet à Paul Pillault une somme considérable récoltée auprès de ceux qu'il a aidés.

Après la dissolution des Instituts et Fraternelles, Jules Berthelin maintient le cap, fondant des journaux tels que "Le Bieniste" et "L'Avenir Spirite". Malgré les obstacles, les échecs et la disparition des institutions, il continue son œuvre charitable, distribuant des fonds à des œuvres diverses.

Jules Berthelin, pilier de la charité, reçoit la Croix du Mérite Social des Pouvoirs Publics, un hommage mérité pour sa vie dédiée à l'amour et au dévouement envers son prochain. Sa vie simple et magnifique, sa persévérance face aux défis, son désintéressement total et son impact positif sur de nombreuses vies font de Jules Berthelin une inspiration et un exemple pour tous ceux qui aspirent à embrasser un tel apostolat. Bien qu'il n'ait pas été versé dans les sciences matérielles conventionnelles, il a acquis une connaissance profonde des lois spirituelles et de la vie terrestre. Sa compréhension éclairée des relations entre le pondérable et l'impondérable, la matière et la force, témoigne de sa sagesse intérieure et de son évolution spirituelle. Jules Berthelin, mendiant d'amour et de pardon, demeure un phare de bonté et de dévouement, portant haut le drapeau de l'amour et de la charité.


Les Fraternelles (Le Fraterniste, 25 avril 1912)


M. André Fardel : Fondateur en 1986 de l'Institut Spirituel Psychosiques de Calonne-Ricouart

M. André Fardel, né le 2 avril 1921 à Hersin Coupigny dans le Pas-de-Calais, incarne une figure remarquable dont le parcours marqué par la dévotion et la recherche spirituelle a profondément influencé l'Institut Général des Forces Psychosiques.

Entré aux mines de Marles à l'âge précoce de treize ans, André Fardel embrasse la carrière d'ajusteur à dix-sept ans. Médaillé du travail et ancien combattant, son chemin croise celui de Monsieur Jules Berthelin, éminent guérisseur de l'Institut Général des Forces Psychosiques à Noeud les Mines. Cette rencontre marque un tournant décisif, faisant d'André Fardel l'élève dévoué de ce maître spirituel.

En 1958, quatre années plus tard, M. André Fardel est désigné guérisseur spirituel de l'Institut Général des Forces Psychosiques, offrant gracieusement ses dons de guérison aux malades. Son engagement altruiste s'illustre par sa consécration à soulager les souffrances physiques et psychiques des bénéficiaires de ses soins.

L'année 1986 marque un nouveau jalon dans son parcours avec la fondation de l'Institut Spirituel Psychosique, établi au 9, rue de l'Église à Calonne-Ricouart (62470). M. André Fardel poursuit ainsi son rôle de guérisseur psychosique, tout en catalysant le développement de l'école de médiums au sein de l'institut.

Guidé par des forces spirituelles, M. André Fardel se distingue également en tant qu'auteur prolifique. À travers ses deux livres, il partage sa sagesse et sa compréhension profonde des réalités spirituelles. Son premier ouvrage, "Psychoses, Qui sommes nous, Ou allons nous", remet en question les notions de réprouvés et explore la loi divine de l'évolution, affirmant le droit universel au bonheur futur par le libre-arbitre.

Le deuxième livre, "Messages d'en Haut", prévu pour être édité et diffusé le 1er septembre 2024, promet une continuation de ses enseignements inspirants. L'héritage de M. André Fardel perdure non seulement à travers ses écrits mais aussi dans l'impact transformateur qu'il a eu sur l'Institut Général des Forces Psychosiques, témoignant d'une vie dédiée à l'éveil spirituel et à la guérison bienveillante.


M. André Tassin - Président de l'Institut Spirituel Psychosique de Calonne-Ricouart depuis 2005

En 2005, M. André Tassin a assumé avec dévouement la responsabilité de diriger l'Institut Spirituel Psychosique de Calonne-Ricouart, succédant ainsi à M. André Fardel. En tant que médium guérisseur principal de l'institut, il s'est engagé de manière inlassable à poursuivre l'œuvre entamée par M. André Fardel et ses prédécesseurs.

En mai 2021, un moment emblématique a marqué la renaissance de l'Institut Général des Forces Psychosiques, portant avec lui l'héritage précieux de MM. Jean Béziat, Paul Pillault, Jules Jésupret, Jules Berthelin et André Fardel. Grâce à cette renaissance, l'Institut Général des Forces Psychosiques a été officiellement inscrit au journal officiel.

Cette résurgence a donné naissance au site internet www.spiritualiste.fr, une plateforme qui abrite désormais l'ensemble des informations, documentations, travaux (peintures, livres, etc.) et autres publications de l'Institut Général des Forces Psychosiques, ainsi que de l'Institut Spirituel Psychosique de Calonne-Ricouart.

Ce site constitue une vitrine virtuelle, un lieu où l'héritage spirituel, les connaissances accumulées, et les œuvres artistiques sont partagés avec le monde, perpétuant ainsi la mission et la vision de ces institutions précieuses. Sous la conduite éclairée de M. André Tassin, l'institut continue à rayonner en diffusant la lumière de la spiritualité et en honorant la mémoire des pionniers qui ont contribué à son édification.


M. Dany Beauchamp - Président depuis 2021 de l'Institut Général des Forces Psychosiques


Dany Beauchamp, élève dévoué d'André Fardel et compagnon de longue date d'André Tassin au sein des travaux de l'Institut Spirituel Psychosique depuis l'aube de sa vie adulte à l'âge de 18 ans, a entrepris un nouveau chapitre passionnant en 2021. Animé par une vision inspirante, il a décidé de reprendre les rênes de l'Institut Général des Forces Psychosiques, une institution vénérable créée à l'origine par Jean Béziat en 1910.

Le 21 mai 2021, marquant une renaissance significative, l'institut a été rétabli en tant qu'association déclarée au répertoire SIRENE avec le numéro 900 532 698, et il a élu domicile à Lens dans le Pas de Calais. Sous la présidence  de Dany Beauchamp, l'institut s'engage à préserver scrupuleusement son riche patrimoine, à honorer la mémoire de ceux qui ont contribué à édifier un monde meilleur, et à étendre le rayonnement spirite et spirituel tant au nord de la France qu'à l'échelle Nationale et mondiale.

Au-delà de son engagement indéfectible envers l'institut, Dany Beauchamp participe activement à des initiatives sociales. Il est actuellement impliqué dans la création de la fondation "Vivre sa vie". Les objectifs de cette fondation résident dans la transformation individuelle en vue d'apporter des changements bénéfiques à notre monde. Il aspire à fournir à la jeunesse contemporaine toutes les clés nécessaires pour vivre une vie épanouissante.

En parallèle à ses activités spirituelles, Dany Beauchamp, titulaire d'un diplôme d'ingénieur hyperfréquences et Antennes de l'école EUDIL de Villeneuve d'Ascq, a apporté sa contribution experte à des entreprises de renom telles que MATRA, ASTRIUM, AIRBUS, MBDA, LATECOERE, SAFRAN, LACROIX, Fabrique National Belge, et THALES. Il est le fondateur également de la société DBRAS en Belgique, au Canada et au Brésil. Son expertise s'étend aux secteurs aéronautique, militaire et spatial, où il a occupé divers postes de direction, de chef de projet et de management opérationnel en France, en Belgique, au Canada et au Brésil. Un parcours professionnel qui complète son engagement philanthropique et spirituel, faisant de Dany Beauchamp une personnalité aux multiples facettes dédiée à la transformation positive de soi et du monde qui l'entoure.